Une arrivée prévue pour 13h43, à Mendoza, capitale viticole d'Argentine...
Et Véro arrive fleur au fusil prête au choc des cultures, ponctuelle! Le Nours arrive quant à lui, quelques minutes plus tard, rythme argentin oblige! Bref, des cris, un arc-en-ciel, des étoiles dans les yeux... Des vraies retrouvailles, digne d'Holywood! Mais retrouvailles brèves, interrompues par Pablo, notre cher chauffeur de taxi bolivien!
Madame Véro impose son espagnol et nous voilà en direction de "Entre Peru y Salvador Reta", domicile noursien. Surprise, joie, français, espagnol, tout se mélange dans le taxi!
Arrivée devant la résidence, numéro 665, appart 17. Dans cet appart, un argentin aux fourneaux, Mini de son surnom, exploité par le Nours pour préparer "una omelette re rica"(en gros, une omelette qui envoie sévère, avec des saveurs typiquement argentines, du jambon, de l'oeuf et du gruyère)!! On parle en espagnol, et Madame Véro doit bien l'avouer, le Mini, c'est un mec à la cool!
Topo de la vie française, topo de la vie argentine, beaucoup de choses à se dire, autour d'un maté, spécialité argentine, qui ne convainquit pas Madame Véro, au premier abord! (Euh pour convinquit, on a cherché dans le dico, t'inquiète!!)
La journée touche à sa fin, le décalage horaire et la fatigue aidant, Madame Véro va fermer ses yeux, seule dans la "chambre du fond"
tandis que Mini et Nours planchent sur leur travaux respectifs.
Demain, la journée sera chargée: Nours conclut son stage par une présentation orale, en espagnol s'il vous plaît... le stress habituel du camarade est bel et bien palpable, ah ah ah!
Commentaires
ah ben oui!!! je crois que le soleil du sud me fait perdre la tete!
a bientot pour un apero apres le boulot et avant le dodo!
Comment, N°3, tu ne reconnais pas N°1 ?!
Bon, c'est juste que tu l'as écrit deux fois différemment...
Convainquit! oui c'est bien ce qu'il y a d'écrit..No hay problemo!
Mais qui se cache derrière ce Bernard Pivot?
Si on avait su que tu allais en argentina pour faire des travaux d'intêrets généraux, on t'aurait acheté des posters de motos et de femmes nues pour décorer les murs de ta chambre de prison, celle que chez vous, les gauchos appellent la "chambre du fond".
N'hésite pas à nous solliciter, on peut t'envoyer des osselets et une craie pour compter los dias.
Au moins tu n'as pas de lattes dans lesquelles coincer tes poignets!
Hola chica ! Que c'est bon d'avoir de tes nouvelles !
Et quel talent ! Jolie reprise de "Bodega, Bodega"... En revanche, Mme Véro va changer de dictionnaire... (convainquit, c'est mieux, non ?)
Tu n'en parles pas, mais, à voir les photos, ça n'est pas la saison des maillots de bain. Pas trop froid, quand même ?
J'attends la suite avec hâte !
Muchos besos.